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Vous êtes entrepreneur(e), salarié(e), étudiant(e), femme/homme au foyer... la question que nous allons aborder touche absolument tout le monde : comment sortir de sa zone de confort ?
Nous vous présentons plusieurs pistes de réflexion, quelques théories, des citations, mais aussi des conseils pratiques pour oser, dans votre vie personnelle comme professionnelle.
À la clé ? Les nouvelles tendances collaboratives pour vous aider à changer vos habitudes au travail. Parce que c’est un travail à faire sur soi, mais avec les autres, c’est plus facile et plus agréable !
La zone de confort peut se décrire de plusieurs façons :
Le terme a beau être composé d’un mot positif, « confort », il a pourtant une connotation négative, car il sous-entend :
Certains qualifient la zone de confort de « prison dorée », ce qui est très parlant : vous vous y sentez bien, mais elle vous enferme et vous empêche d’évoluer.
C’est l’espace limité du « connu » et du « maîtrisé ».
La quête de la zone de confort répond à votre besoin de contrôle, par peur :
Vous pouvez très bien relever des challenges incroyables au travail tout en étant plus « frileux » sur d’autres points (amour, sport, etc.).
Tout dépend de votre niveau de confiance, développé ou abîmé par vos expériences, l’attitude positive ou négative de votre entourage, en bref, vos réussites et vos échecs, vos encouragements et vos traumatismes.
Tout le monde ! À un moment ou à un autre, ou de façon plus installée :
Vous y êtes, ou vous y sentez :
Plusieurs théories se penchent sur les besoins fondamentaux et les passions, qui contribuent au développement personnel. En voici quelques-unes.
Le psychothérapeute Émile Coué a écrit Maîtrise de soi-même par l’autosuggestion consciente.
Il recommande de répéter 20 fois de suite et trois fois par jour la formule : « Tous les jours, à tous points de vue, je vais de mieux en mieux. »
Il est certes mort la même année (à 69 ans tout de même), mais la méthode Coué était née.
Parmi ses observations, la loi de l’effort inverse : l’imagination l’emporte toujours sur la volonté. Une piste pour dépasser ses préjugés.
D’après la pyramide des besoins de Maslow (établie par le psychologue Abraham Maslow), vous avez 5 besoins fondamentaux que vous assouvissez les uns après les autres, des plus essentiels (la base) aux plus « superflus » (la consécration). C’est le besoin d’autoactualisation.
© Behance.net
Certains l’ont d’ailleurs détournée de façon humoristique, avec les besoins de notre époque hyper connectée :
© coaching écologique
La pyramide de Maslow démontre qu’une zone de confort n’est pas forcément négative.
C’est aussi un repère, une étape nécessaire à notre croissance, à l’accomplissement d’un objectif. Votre zone de confort vous sert de tremplin vers l’épanouissement.
Encore faut-il en sortir.
Norman Vincent Peale a écrit le livre The power of Positive Thinking (La puissance de la pensée positive) décrivant comment transformer ses émotions négatives en attitudes positives. Il a aussi écrit Quand on veut, on peut ! en 1979.
De nombreux autres ouvrages s’en sont inspiré, comme Mindset de Benjamin Smith, dont quelques pistes sont livrées ici en vidéo :
La programmation neurolinguistique est une démarche pragmatique en psychologie appliquée élaborée par Richard Bandler et John Grinder.
L’un de ses principes est de transmettre les « savoir-faire » (compétences) et les « savoir-être » à ceux qui en ont besoin, pour un dépassement de soi.
Certaines interventions de PNListes ont notamment pour but de lever les freins que l’on se met à soi-même, dus à des « croyances limitantes », comme « je n’y arriverai jamais », « ce n’est pas pour moi », etc. ayant un impact sur l’estime de soi.
Regardez cette vidéo pour en savoir plus :
Connaissez-vous le test japonais de l’ikigai ?
Ikigai se traduit par « raison d’être » ou encore « raison de se lever chaque matin ».
C’est l’association des mots ikiri (vivre) et gai (réalisation de ses souhaits).
Le concept est de trouver du sens à ce que l’on fait, de trouver sa voie, d’avoir un but, en somme de ne pas se résigner à la zone de confort.
C’est une très bonne méthode pour trouver le job de ses rêves, un défi personnel qui demande réflexion sur vos talents, vos acquis, vos goûts et vos valeurs.
Certains trouvent leur ikigai dans leur vie familiale, d’autres dans le développement d’un art, ou dans les deux.
Source etre-optimiste.fr
Petit tuto : remplissez en premier chaque partie externe du cercle (ci-dessus fléchée), puis complétez la zone où se trouvent les mots clés « métier », « mission », « passion » et « vocation » avec des mots, idées, sentiments ou expressions synthétisant pour vous les interactions entre les deux cercles qui se croisent à cet endroit. Faites de même avec tous les espaces vierges suivants, comment y résumer en quelques mots les notions qui les entourent ?
À visionner aussi : L’ikigai, un outil pour savoir ce qui vous va le mieux au travail — Europe 1
C’est l’action qui découle de la prise de conscience, de la décision de dépasser ses propres blocages, repousser ses propres limites, pour être plus épanoui et plus heureux.
Une forme de lâcher-prise.
Paradoxalement, sortir de sa zone de confort, « c’est reprendre le contrôle de sa vie, se placer aux manettes pour devenir la personne que l’on souhaite être » (source www.psychologies.com), alors qu’on doit justement sortir de sa zone de contrôle pour cela.
En sortir, c’est aller dans une nouvelle zone : la zone d’apprentissage ou de découverte.
C’est là que se trouvent les « risques de succès ».
Ses bénéfices :
Où la magie se produit...
→ pour être vivant en somme !
Cette vidéo dessinée est un très bon résumé (à regarder jusqu’au bout) 😀 :
Attention, ces anecdotes sont tirées d’histoires vraies, toute ressemblance avec des personnages réels n’est pas du tout fortuite.
« J’ai démissionné de mon travail pour une nouvelle expérience professionnelle sans savoir si ça allait fonctionner ni me plaire, aujourd’hui je me demande pourquoi je ne l’ai pas fait plus tôt ».
« Mon meilleur ami s’est désisté un mois avant notre grand départ pour un roadtrip à travers la Russie. Plutôt que d’annuler, j’y ai été seul et j’ai fait ce que je voulais quand je voulais, j’ai même rencontré une foule de gens qui ne m’auraient jamais parlé si on avait été deux ».
« Je paniquais à l’idée d’être à 20 mètres sous l’eau, mais la plongée m’a toujours attirée. J’ai fait un stage avec l’UCPA : une plongée par jour, j’avais intérêt d’aimer ça ! Je viens de rentrer avec mon diplôme de niveau I et j’ai déjà réservé mon prochain séjour pour le niveau II ».
© atmosphere-citation
Vous êtes responsable de votre propre bien-être, celui ou celle qui a le détonateur.
Si vous ne faites rien pour évoluer, vous vous complaisez dans une situation inconfortable.
Mais attention, il ne s’agit pas de révolutionner votre vie du jour au lendemain. Vos fondations font ce que vous êtes aujourd’hui, pour le meilleur aussi.
Pour commencer, il est important que les défis restent surmontables, atteignables, pour éviter toute frustration. Les petites victoires vous donneront envie d’aller plus loin, à votre rythme.
Vous pouvez vous faire aider en demandant de l’aide à un professionnel, à vos amis, à votre famille. Leur regard, certes peu objectif en qui concerne vos proches, peut vous aider à prendre conscience de certains blocages que vous ne soupçonnez pas.
Tout vient à point à qui sait attendre.
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On parle souvent de développement personnel, mais la zone de confort touche aussi le développement professionnel.
C’est un domaine où vous pouvez hésiter à prendre des risques tout simplement parce que cela met en péril vos besoins fondamentaux (cf. Maslow), c’est-à-dire le besoin de sécurité (financière) et en conséquence les besoins physiologiques (manger et nourrir votre famille).
Certes, selon le sociologue Jean Viard, vous ne passez plus que 12 % de votre vie, en moyenne, à travailler (contre 40 % au début du siècle), suite à :
Mais cela reste une part importante de votre vie où vous devez vous épanouir.
Un manque de passion finit toujours par se traduire par de l’inefficacité, une démotivation voire des erreurs, et c’est toute l’entreprise qui en pâtit.
Dans la vidéo sur le concept Ikigai (plus haut), la journaliste, auteure et conférencière Anne Cazaubon, indique que sur 100 personnes se rendant au travail :
Voyez cette évolution comme une opportunité d’apprendre et d’évoluer, plus que comme une contrainte.
Surtout si l’utilisation des nouvelles technologies vous permet de gagner du temps et ainsi de vous épanouir dans d’autres domaines !
Les bénéfices des Softwares as a Service (SaaS) sont multiples :
Plus aucune excuse, les logiciels sur le cloud proposent très souvent des versions d’essai gratuites : de quoi changer vos habitudes sans prendre de risques !
Dans le domaine de la collaboration, l’effet groupe peut être intimidant et vous bloquer. Et pourtant, il peut aussi vous aider à vous révéler, ou à révéler vos collaborateurs. Voici quelques exemples pour vous.
Déjà ? Comment ? En lisant cet article tout simplement. Maintenant le tout est de savoir : où se situe votre zone de confort ? Quel est le premier challenge que vous souhaitez relever ? C’est bon, vous visualisez ? Gooooo !
Si vous avez d’autres idées, techniques, citations inspirantes, n’hésitez pas à les partager avec nous !