

Si le logiciel libre et les communs numériques constituaient la meilleure piste à envisager pour reconquérir notre souveraineté numérique ? Tristan Nitot prend la parole sur le sujet.
Le média de ceux qui réinventent l'entreprise
Pas le temps de faire votre veille métier ? La rédac' d’Appvizer l’a faite pour vous ! Au programme : l’Académie française is worried de l’explosion du franglais, comment adapter sa stratégie événementielle en ces temps de Covid, l’authenticité qui s’invite dans le marketing d’influence, et les français déserteront-ils les réseaux sociaux comme leurs voisins italiens ? Bonne lecture !
« Alex, tu peux me dire asap si le lead est bien dans le pipe please ? Merci ! ». Si vous travaillez dans la Tech, en startup ou en agence de com', le franglais est sûrement devenu votre LV2.
L’Académie française à d’ailleurs rendu un rapport sur l’usage, d’après elle inquiétant, des anglicismes dans la communication institutionnelle. Bien que leur utilisation ne date pas d’hier, elle est devenue de plus en plus importante ces dernières années, avec une véritable colonisation de notre vocabulaire.
La crainte de l’Académie française ? Que cette tendance à l’emploi de l’anglais entache notre identité et mette en péril l’avenir de la langue de Molière.
Et si on faisait l’effort de n’utiliser que le français au boulot ? On vous lance le défi !
Le marché des abonnements a le vent en poupe depuis plusieurs années, pourtant, il détient encore une belle marge de progression. D’après le dernier rapport Subscronomics, la valeur mondiale de ce marché est en passe d’atteindre 500 milliards de dollars d’ici trois ans, avec une croissance de 68 % par an entre 2019 et 2025.
En France, ce sont 50 millions d’abonnements qui génèrent 5,3 milliards d’euros, sur la troisième marche du podium des pays européens. Et comme bien souvent, les États-Unis sont en avance là-dessus, avec 3,4 abonnements par habitant, contre 2,5 en France.
Alors même si la Netflixisation de l’économie a déjà bien commencé, il reste encore plein de belles opportunités à aller chercher !
S’il y a bien un domaine professionnel où la Covid continue de faire planer l’incertitude, c’est bien celui de l’événementiel. Et comme la pandémie n’est pas encore terminée, il faut continuer de composer avec ces inconnues, en mettant en place une stratégie adaptée à ce contexte particulier.
Voici quelques conseils avisés :
D’autres bons conseils à consulter dans l’article complet.
La Covid a chamboulé les comportements et les attentes des utilisateurs dans plusieurs domaines. Le besoin d’authenticité est devenu prépondérant, redéfinissant ainsi la manière dont les marques doivent s’adresser à eux pour que le message passe.
C’est ce que révèle la dernière étude de Meltwater sur l’évolution du marketing d’influence depuis la pandémie. On y apprend notamment que :
Découvrez également quelles sont les tendances pour le marketing d’influence en 2022 !
La saison des galettes des rois est finie, place à la Nuit des Rois (et des Reines) du marketing digital !
Cette cérémonie organisée par Viuz vise à récompenser les démarches les plus innovantes dans 10 catégories différentes :
Un dîner de Gala (smoking et robe de soirée de rigueur) se tiendra à la mi-mai pour remettre les prix aux grands gagnants.
Alors si vous pensez que votre projet ou votre entreprise peut prétendre à l’un de ces prix, vous avez jusqu’au 11 mars pour candidater !
L’Observatoire de l’e-pub vient de sortir sa dernière édition, qui fait part d’un impressionnant accroissement des dépenses publicitaires en ligne (+24 %).
Voici quelques-uns des chiffres de cette étude :
D’autres données étonnantes de cette étude à découvrir dans l’article complet.
Retour vers une vie déconnectée ? C’est la voie que semble nous montrer nos voisins de la botte.
D’après une étude de Deloitte menée dans plusieurs pays, 22 % des Italiens ont abandonné l’utilisation d’un réseau social en 2021. Parmi les raisons évoquées, la qualité des contenus visibles (fake news ou contenus ennuyeux), et l’inquiétude face à l’utilisation peu transparente de leurs données personnelles.
Une tendance qui risque de traverser les Alpes ? L’avenir nous le dira !