

Si le logiciel libre et les communs numériques constituaient la meilleure piste à envisager pour reconquérir notre souveraineté numérique ? Tristan Nitot prend la parole sur le sujet.
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À la question « pensez-vous changer d’employeur dans les 12 prochains mois ? », 20% des professionnels ont répondu « très probable » ou « extrêmement probable ».
Le cabinet PwC a récemment mené une étude « Global Workforce Hopes and Fears » auprès de 52 195 salariés de tous les âges actifs dans 44 pays.
Démissions en série et périodes de travail de plus en plus courtes, la crise sanitaire a rendu l’équilibre vie privée/vie professionnelle encore plus instable. Les secteurs les plus touchés restent l'hôtellerie et la restauration et les métiers du service avec de nombreux abandons de poste et départs dans le monde entier.
En Europe, seuls les salariés luxembourgeois (25%), danois (22%) et irlandais (21%) sont au-dessus de la moyenne mondiale. Du reste, la grande majorité semble assez contente de sa situation.
Bien que la tendance reste à la hausse, la situation semble avoir bien peu affecté le continent européen comparé à ailleurs.
À échelle mondiale, les salariés moins enclins à démissionner dans les prochains mois sont plutôt européens : les Tchèques (12%) et les Belges (13%), suivis par les Français et les Néerlandais (15%).
Tous secteurs confondus, les pays les plus fragilisés par cette situation sont dans l’ordre :
Presque étonnamment, les États-Unis sont exactement dans la moyenne mondiale, et la Chine largement en dessous (13%).
Au niveau mondial, 35% des salariés comptent demander une augmentation dans les douze prochains mois. Parmi eux :
La hausse du salaire est un motif principal de changement de travail (71%) ; la recherche d’un travail plus épanouissant et la possibilité de choisir son lieu de travail viennent ensuite.