Les meilleurs logiciels de gestion de projet en 2025
« Des logiciels de gestion de projet, il en existe mille et ils font tous la même chose, de toute façon. » On a analysé plus de 10 000 avis utilisateurs, avec notre IA sous le bras, pour vérifier si c’était vrai. Verdict.
Le 18 Novembre 2025 • 6 min de lecture
Toutes nos recommandations
On a évalué 119 logiciels de gestion de projet, et voici nos recommandations :
Pour les équipes tech et/ou agiles
JiraScrum/Kanban, dashboards et intégrations écosystème Atlassian
Pourquoi vous pouvez nous faire confiance
Ce qui compte vraiment dans un logiciel de gestion de projet
Les avis sont formels : votre adoption dépendra de la clarté d’usage de l’outil. Les équipes projet privilégient des vues liste, Kanban ou Gantt lisibles, des statuts uniformisés et des champs obligatoires limités. Les modèles de projets accélèrent le démarrage et réduisent les erreurs de planification. Pour faire le bon choix, évitez les écrans surchargés et les workflows opaques : c’est le premier motif de désengagement des utilisateurs !
Ensuite, les intégrations (Google, Slack, CRM, etc.) font gagner un temps précieux en éliminant la double saisie : bye-bye erreurs et bonjour données harmonisées. La synchronisation calendrier/tâches et l’import structuré des CSV/Excel restent aussi des basiques attendus. Petit conseil : avant de vous engager, testez la profondeur des intégrations, comme les limites API.
Côté tarifs, le coût total est souvent sous-estimé. Les abonnements paraissent raisonnables, mais les modules avancés (reporting, ressources, automatisations), la formation et l’intégration SSO/SCIM alourdissent la facture. Anticipez le TCO sur 24 mois et comparez le time-to-value réel (semaines vs mois) selon votre niveau de personnalisation.
Ce que les avis utilisateurs nous apprennent
9 avis/10
Gestion des tâches est clé
9 avis/10
Planification projet essentielle
8 avis/10
Suivi & reporting très recherchés
8 avis/10
Workflows & prio. importants
Jira Software est un outil de gestion de projet orienté tickets, qui s’adresse clairement aux équipes tech et/ou agiles qui veulent un suivi très structuré de leurs user stories, bugs et versions. Les avis saluent les workflows très personnalisables, les nombreux rapports et les intégrations dev (Bitbucket, Git, CI/CD, Confluence), ce qui en fait un standard de fait pour le développement logiciel, à condition d’accepter une certaine complexité.
4,6/5
Note globale
9 avis/10
Facilité usage
9 avis/10
Fonctionnalités
9 avis/10
Valeur perçue
90 %
Intention reco
À qui ça s’adresse
Jira cible avant tout les équipes Agile/dev structurées : avec une organisation Scrum ou Kanban, des équipes produit + dev, et des équipes multi-squads. Avec 4,4/5 de note globale, 8,3/10 en recommandation et une forte adoption chez les équipes techniques, il convient particulièrement aux contextes où l’on veut des workflows personnalisés, une traçabilité fine et des rapports détaillés, plutôt qu’un simple tableau Kanban.
Pourquoi on le recommande
Nous recommandons Jira pour les équipes Agile/Dev en France parce qu’il combine un support Agile très complet (Scrum, Kanban, reporting) avec des workflows hautement personnalisables et une intégration étroite à la chaîne de développement. Les retours utilisateurs soulignent une note d’environ 4,4/5 sur près de 15 000 avis et un score de 96/100 en shortlist, ce qui en fait une référence pour la planification structurée, la visibilité et la traçabilité.
Ses limites (mais pas rédhibitoires)
Les retours pointent surtout la complexité de l’interface, une courbe d’apprentissage marquée, quelques ralentissements sur de très gros backlogs et un fit moindre pour les équipes non-techniques. Ces limites restent gérables si l’on standardise les modèles, limite les champs et workflows au départ et réserve Jira aux équipes qui sont vraiment au cœur des livraisons techniques.
Qui devrait l’éviter
Petites équipes sans admin dédiée : configuration lourde, gains limités pour besoins simples.
Équipes exigeant suivi temps/ressources natif : dépendance à des add-ons payants.
PMO multi-portefeuilles : gouvernance stricte et déploiements lents sous forte complexité.
Équipes non techniques recherchant ultra-simplicité : les options et réglages paraissent envahissants.
Budgets serrés : les coûts cumulés des apps Marketplace compliquent le TCO.
À qui ça convient
Équipes produit et dev agiles orientées sprints.
Organisations tech avec CI/CD et traçabilité code–tickets.
Scale-ups multi-équipes cherchant workflows Scrum/Kanban cohérents.
PM/PO et QA pilotant backlog, vélocité et releases.
Équipes DevOps nécessitant intégrations GitHub/GitLab/Jenkins éprouvées.
À éviter si
Priorité au suivi temps/ressources 100 % natif.
Déploiements PMO multi-portefeuilles à gouvernance stricte.
Équipes sans admin dédiée ni expertise configuration.
Attente d’une interface ultra-simple, réglages minimaux.
Budgets serrés sensibles aux coûts d’add-ons.
Ce qu'on aime
Scrum/Kanban et backlog structurent les sprints et priorités efficacement.
Les rapports de vélocité et dashboards clarifient les capacités.
Les intégrations GitHub/GitLab/Jenkins renforcent une traçabilité code–tickets CI/CD fiable.
Les apps de la marketplace comblent le suivi temps et ressources non-natif.
Satisfaction moyenne 4,3/5, tendance 12 mois stable selon avis récents.
Ce que disent les utilisateurs
Intégrations Git/CI utiles au quotidien (mentionné dans 38 % des avis)
Dashboards clairs pour suivre la vélocité (mentionné dans 41 % des avis)
Prise en main demande du paramétrage (mentionné dans 24 % des avis)
Suivi du temps limité sans add-ons (mentionné dans 30 % des avis)
Alternatives proches
Asana • Interface plus simple ; Agile moins poussé que Jira.
ClickUp • Moins cher tout-en-un ; complexité de paramétrage.
Certains liens peuvent être affiliés, mais nos sélections restent indépendantes.
Votre organisation gère de nombreux projets et clients en parallèle ? Alors, jetez un œil à Wrike. Et pour cause, les avis mettent en avant la force des vues multi-projets, des dashboards et du reporting, utiles aux PMO et directions pour arbitrer priorités, budgets et charge. Wrike centralise les demandes, l’exécution et le suivi dans un même environnement, ce qui en fait une option solide pour les portefeuilles avancés, à condition d’accepter une prise en main plus exigeante que les outils plus simples.
4,4/5
Note globale
8 avis/10
Facilité usage
8,5 avis/10
Réponse besoins
8 avis/10
Qualité support
4,3/5
Note PME/ETI
À qui ça s’adresse
Wrike convient surtout aux PMO, directions opérationnelles et équipes projets qui gèrent de nombreux projets ou clients simultanés. Les avis convergent vers des notes autour de 4,3/5, avec des gains de +10 à 30 % de productivité sur des déploiements massifs ! Il sert bien les organisations qui veulent standardiser demandes, priorisation et exécution dans un espace unique, plutôt que multiplier les outils.
Pourquoi on le recommande
Nous recommandons Wrike pour la gestion multi-projets car il combine Gantt, ressources et dashboards configurables mieux que les options orientées “tâches” seules. Les avis récents valorisent la visibilité portefeuille et les rapports prêts à l’emploi, utiles pour détecter les dérives tôt. Les intégrations Microsoft/Google/CRM réduisent la double saisie et fiabilisent les données. La tendance de satisfaction reste stable (~4,4/5). À garder en tête, cela dit : le paramétrage initial peut être lourd ; c’est à prévoir dans le plan de déploiement.
Ses limites (mais pas rédhibitoires)
Les avis sur Wrike mentionnent surtout une interface jugée peu intuitive, une mise en route assez longue, un time tracking moins poussé que certains concurrents et parfois trop de clics sur de gros comptes. Ces limites impactent surtout les nouveaux utilisateurs ou les organisations qui veulent tout centraliser, mais se compensent en pratique par des modèles stabilisés, un nettoyage régulier des vues et, au besoin, un outil dédié pour le suivi du temps.
Qui devrait l’éviter
Petites équipes avec quelques projets et peu de reporting.
Utilisateurs non techniques cherchant une interface ultra simple et visuelle.
Organisations qui veulent un time tracking extrêmement détaillé et natif.
Structures sans propriétaire clair pour configurer et maintenir workflows et champs.
À qui ça convient
PMO et directions gérant plusieurs portefeuilles de projets.
Équipes marketing ou com’ avec de nombreuses campagnes simultanées.
Équipes IT ou service client gérant plusieurs clients en parallèle.
Entreprises en croissance qui structurent le pilotage par portefeuilles.
À éviter si
Très peu de projets, besoins basiques en suivi.
Pas d’admin pour maintenir process et workflows propres.
Exigence très forte sur suivi temps/planification natif.
Utilisateurs occasionnels réfractaires aux interfaces complexes.
Ce qu'on aime
Vue multi-projets solide pour suivre clients, campagnes et programmes.
Workflows très personnalisables qui s’adaptent aux processus maison.
Dashboards et rapports utiles pour la visibilité et les arbitrages.
Collaboration facilitée grâce aux commentaires, fichiers et mentions.
Capacité à monter en charge sur de grandes organisations.
Ce que disent les utilisateurs
Idéal pour suivre de nombreux projets en parallèle (mentionné dans ~30 % des avis)
Workflows très flexibles, mais configuration exigeante (mentionné dans ~25 % des avis)
Dashboards utiles pour voir charge et priorités (mentionné dans ~20 % des avis)
Interface puissante, mais pas toujours intuitive au départ (mentionné dans ~20 % des avis)
Alternatives proches
Smartsheet • Approche tableur plus familière mais moins avancée en automatisation portefeuille.
monday.com • Interface plus visuelle et accessible, mais approche PMO parfois moins poussée.
Certains liens peuvent être affiliés, mais nos sélections restent indépendantes.
monday.com convient aux équipes non-techniques qui veulent piloter visuellement projets et activités. Les avis soulignent des dashboards no-code, une mise en route rapide et des automatisations utiles pour réduire les saisies répétitives. Les intégrations avec Google, Microsoft ou encore Slack facilitent la synchronisation quotidienne. Les utilisateurs mentionnent d’ailleurs une satisfaction élevée (~4,6/5) et une adoption rapide. Point d’attention : le suivi du temps et des ressources, ainsi que la gestion de dépendances sont moins profonds que les outils orientés PMO.
4,7/5
Note globale
9 avis/10
Facilité usage
9,2 avis/10
Priorisation tâches
9,1 avis/10
Planification visuelle
À qui ça s’adresse
monday.com s’adresse aux équipes marketing, opérations, support et PM/PO non techniques. Elles gagnent un cadre visuel pour prioriser, suivre tâches et statuts, et automatiser les rappels ou fluidifier les passations. monday.com est particulièrement fait pour vous si vous cherchez la facilité d’usage (mentionnée par ~50 % des avis) et des dashboards clairs (~40 %). Il sera par contre moins adapté si votre besoin central est la planification capacitaire multi-équipes ou la modélisation de dépendances complexes.
Pourquoi on le recommande
Nous recommandons monday.com pour les équipes non-tech car ses dashboards no-code et automatisations simples accélèrent l’adoption et la visibilité, plus nettement que des outils plus “PMO”. Les intégrations réduisent la double saisie et stabilisent les rituels d’équipe. Les avis recentrés sur 24 mois rapportent une note moyenne de ~4,6/5 et une montée en charge rapide.
Ses limites (mais pas rédhibitoires)
Les utilisateurs évoquent des limites sur le suivi du temps, la charge et les dépendances avancées, surtout en portefeuilles complexes. Certaines automatisations plafonnent selon les plans, ce qui peut contraindre des workflows intensifs. En revanche, la plupart des équipes non-tech compensent via vues simples, rappels automatisés et intégrations standards, ce qui maintient un bon rapport valeur/effort. L’impact est donc modéré pour les cas d’usage centrés sur visibilité et coordination.
Qui devrait l’éviter
PMO cherchant planification capacitaire et scénarios avancés.
Équipes exigeant dépendances complexes et chemins critiques.
Besoin de suivi du temps natif et détaillé.
Organisations avec automatisations massives au-delà des quotas plan.
Environnements réglementés requérant permissions très granulaires.
À qui ça convient
Équipes marketing/ops recherchant pilotage visuel simple.
PM/PO non-tech voulant adopter rapidement.
Services transverses gérant campagnes et demandes.
PME/scale-ups standardisant rituels hebdomadaires.
Organisations multi-outils utilisant Google, Microsoft et/ou Slack.
À éviter si
Priorité à la capacité ressources multi-équipes.
Dépendances complexes et jalons critiques quotidiens.
Suivi du temps natif granulaire requis.
Automatisations très volumineuses et illimitées.
Permissions et rôles très fins indispensables.
Ce qu'on aime
Des dashboards lisibles produits sans code.
L’adoption rapide par les équipes métiers.
Des automatisations simples qui réduisent la double saisie récurrente.
Satisfaction ~4,6/5 sur 24 mois d’avis.
Ce que disent les utilisateurs
Vues claires, prise en main rapide (mentionné dans 50 % des avis)
Dashboards utiles au quotidien (mentionné dans 40 % des avis)
Automatisations pratiques pour rappels (mentionné dans 35 % des avis)
Limité pour ressources/dépendances (mentionné dans 20 % des avis)
Alternatives proches
Asana • Courbe d’apprentissage douce ; automatisations moins poussées nativement.
Trello • Kanban simple ; dashboards/automatisations plus limités.
Smartsheet • Puissance type tableur ; mise en place plus manuelle.
Certains liens peuvent être affiliés, mais nos sélections restent indépendantes.
Zoho Projects convient aux PME françaises qui veulent relier suivi du temps, coûts et facturation sans multiplier les outils. Les avis mettent en avant feuilles de temps natives, la gestion des taux facturables et l’intégration avec Zoho Books ou Invoice, pour passer facilement de la réalisation du projet à sa facturation. Les intégrations avec les apps de l’univers Zoho, mais aussi les outils les plus courants comme Microsoft et Google, couvrent le quotidien. La satisfaction se situe autour de ~4,4/5 sur 24 mois. Parmi les limites récurrentes dans les avis : l’allocation de ressources et les dépendances avancées moins profondes que des suites PMO spécialisées.
4,3/5
Note globale
4,4/5
Satisf. clients
8,4 avis/10
Facilité usage
8,1 avis/10
Mise en place
8,7 avis/10
Priorisation tâches
À qui ça s’adresse
Zoho Projects s’adresse aux PME, agences et ESN en France qui facturent au temps passé ou aux forfaits hybrides. Les équipes profitent des feuilles de temps reliées aux taux, de la consolidation par projet et de la synchronisation avec Zoho Books pour émettre des factures rapidement. Zoho Projects est-il fait pour vous ? Oui, si vous cherchez des timesheets performantes (cités par ~55 % des avis) et une facturation intégrée (~40 %). Moins indiqué pour un pilotage capacitaire multi-équipes très sophistiqué.
Pourquoi on le recommande
Nous recommandons Zoho Projects pour les cas d’usage « feuilles de temps → facturation » : le lien natif avec Zoho Books ou Invoice réduit la double saisie et accélère le recouvrement. Les avis récents soulignent la fiabilité des feuilles de temps, la gestion des taux et l’export clair pour la facturation client. Les intégrations bureautiques usuelles suffisent aux besoins des PME. Point d’attention : la planification avancée des capacités et des dépendances reste plus basique que sur des suites PMO.
Ses limites (mais pas rédhibitoires)
Les utilisateurs relèvent une allocation de ressources plus limitée, notamment l’analyse de charge moins détaillée, et des dépendances et chemins critiques moins puissants pour des portefeuilles complexes. Certains notent que les rapports avancés exigent des ajustements ou exports. Dans la plupart des PME, ces limites ne bloquent pas : les feuilles de temps fiables, la valorisation des heures et la facturation intégrée apportent un gain net, surtout quand l’objectif prioritaire est le cycle “enregistrer → facturer → encaisser”.
Qui devrait l’éviter
PMO multi-portefeuilles cherchant simulation de capacités avancée.
Organisations exigeant dépendances/chemins critiques très détaillés.
Besoin d’analytics complexes sans passer par exports.
Équipes sans processus de time tracking formalisé.
Entreprises hors écosystème Zoho refusant intégrations tierces.
À qui ça convient
PME facturant au temps passé ou forfait hybride.
Agences et services pros cherchant une facturation efficace.
ESN/TMA suivant coûts par projet/ressource.
Équipes finance/ops valorisant exports clairs.
Organisations déjà équipées de Zoho Books.
À éviter si
Priorité à la capacité ressources multi-équipes.
Nécessité de dépendances/chemins critiques complexes.
Refus d’utiliser Zoho Books/Invoice.
Attente d’analyses BI avancées natives.
Processus sans suivi du temps requis.
Ce qu'on aime
Timesheets natifs avec taux facturables par projet.
Facturation intégrée via Zoho Books/Invoice fluide.
Exports et rapports temps → facture clairs.
Satisfaction ~4,4/5, stabilité sur 12 mois.
Ce que disent les utilisateurs
Timesheets simples et fiables (mentionné dans 55 % des avis)
Facturation Zoho pratique et rapide (mentionné dans 40 % des avis)
Ressources avancées limitées (mentionné dans 25 % des avis)
Alternatives proches
Asana • Plus simple à prendre en main pour les équipes non techniques
monday.com • Tableaux plus visuels, mais moins complet sur la gestion de tâches avancée
Certains liens peuvent être affiliés, mais nos sélections restent indépendantes.
Asana aide les équipes à coordonner tâches et responsables avec des vues claires (liste, tableau, chronologie) et des briefings partagés. Il convient aux coordinations transverses qui veulent un suivi simple, sans paramétrages lourds. Les équipes gèrent activités, pièces jointes et échéances, puis visualisent l’avancement pour limiter les oublis et clarifier les priorités.
4,4/5
Note globale
8,6 avis/10
Facilité usage
8,7 avis/10
Réponse besoins
8,6 avis/10
Déploiement facile
8,5 avis/10
Qualité support
À qui ça s’adresse
Asana s’adresse d’abord aux équipes qui coordonnent des projets au quotidien dans des PME, ETI et agences multi-sites. Elles l’utilisent pour suivre tâches, deadlines et responsables sur plusieurs projets en parallèle, grâce aux vues Liste, Tableau et Calendrier. Avec une note moyenne d’environ 4,5/5 et 8 utilisateurs sur 10 qui le recommandent, l’outil convient surtout aux équipes prêtes à structurer leurs process de manière durable.
Pourquoi on le recommande
Asana convient aux féru·es de la coordination d’équipe, car il clarifie tâches, responsables et échéances dans des vues lisibles (liste/tableau/chronologie). Les équipes partagent briefings et fichiers, standardisent checklists et rituels, et suivent l’avancement sans configuration complexe. Autrement dit, le b.a.-ba lorsque la priorité est la visibilité partagée et la responsabilisation plutôt que des workflows techniques lourds.
Ses limites (mais pas rédhibitoires)
Pour la coordination d’équipe, les limites d’Asana sont claires : la courbe d’apprentissage et le paramétrage complexe reviennent dans ~20 % des avis, puis viennent la surcharge de notifications pour les équipes multi-projets (~15 %), le prix jugé élevé pour les petites structures, et les rapports avancés jugés techniques. Ces points pèsent surtout sur les TPE sans référent projet, mais la plupart des équipes s’en sortent avec des modèles, un nettoyage des alertes et quelques intégrations ou exports.
Qui devrait l’éviter
TPE de 2–3 personnes cherchant surtout une simple to-do list gratuite.
Équipes sans référent projet dédié, incapables d’investir un minimum dans le paramétrage.
Managers qui attendent des tableaux de bord chiffrés très détaillés prêts à l’emploi.
Équipes avec faible appétence numérique, pour qui la courbe d’apprentissage freine l’adoption.
Structures voulant facturation, suivi de temps et coordination d’équipe dans un seul outil.
À qui ça convient
Équipes projet en PME qui coordonnent plusieurs chantiers.
Agences multi-sites partageant une feuille de route commune.
Équipes marketing ou produit suivant campagnes et lancements.
Organisations déjà habituées aux outils de gestion projet.
À éviter si
Très petite équipe cherchant une simple to-do list partagée.
Aucune ressource pour cadrer projets, rôles et responsabilités.
Besoin d’un suivi financier et temps directement intégré.
Faible appétence pour les outils SaaS un peu complexes.
Ce qu'on aime
Bonne visibilité sur tâches, responsables et échéances projets.
Vues Liste, Tableau, Calendrier adaptées aux habitudes de chacun.
Coordination fluide entre marketing, produit, sales et opérations.
Intégrations utiles avec Slack, Google Workspace et Outlook.
Modèles de projets qui structurent durablement les processus.
Ce que disent les utilisateurs
On voit enfin qui fait quoi et quand (mentionné dans ~35 % des avis)
Moins de réunions, tout est déjà dans Asana (mentionné dans ~25 % des avis)
La prise en main demande un peu de temps (mentionné dans ~20 % des avis)
Le prix pique pour une petite équipe (mentionné dans ~15 % des avis)
Alternatives proches
monday.com • Pour pousser la collaboration d’un cran.
Furious • Pour la gestion des projets en ESN, temps passés et gestion RH inclus.
Certains liens peuvent être affiliés, mais nos sélections restent indépendantes.
Microsoft Project offre aux PMO structurés une planification détaillée, des Gantt précis et un pilotage des ressources sur plusieurs projets au sein d’un même portefeuille. L’outil se positionne comme un standard en entreprise pour les programmes complexes, surtout quand tout l’écosystème Microsoft 365 est déjà en place. Les équipes l’emploient pour construire des plannings fiables, suivre les écarts et alimenter un reporting consolidé à destination des décideurs.
4/5
Note globale
4,4/5
Satisf. clients
7,3 avis/10
Facilité usage
8,3 avis/10
Réponse besoins
7,5 avis/10
Déploiement facile
À qui ça s’adresse
Microsoft Project s’adresse en priorité aux PMO structurés de grandes entreprises et ETI qui gèrent un portefeuille dense de projets IT, construction ou ingénierie. Les avis rapportent une écrasante majorité de retours positifs, surtout chez les équipes déjà outillées en Microsoft 365. Les bureaux de planification et chefs de projet expérimentés y trouvent un cadre robuste pour baselines, arbitrages de capacité et reporting multi-projets.
Pourquoi on le recommande
Microsoft Project reste un standard pour les PMO structurés qui doivent orchestrer des portefeuilles complexes dans l’écosystème Microsoft 365. Les avis soulignent la puissance des Gantt, des baselines et de la gestion de capacité, avec une note autour de 4,4/5 et ~90 % d’avis positifs. Le mastodonte convainc toujours ! En contrepartie, l’interface classique et la complexité le rendent moins adapté aux équipes cherchant un outil léger et collaboratif dès le jour 1.
Ses limites (mais pas rédhibitoires)
Pour les PMO structurés, les avis pointent surtout la courbe d’apprentissage, la collaboration moins fluide et un coût élevé pour les petits périmètres. Ces limites pèsent surtout sur les équipes peu matures ou très changeantes, mais restent gérables pour les PMO experts qui standardisent modèles, gouvernance et intégrations (Teams, Power BI), en réservant les licences aux rôles clés.
Qui devrait l’éviter
Équipes sans PM dédié ni culture projet formalisée, la complexité devient un frein.
Structures avec peu de projets simultanés, le coût de licence pèse trop.
Équipes cherchant surtout collaboration temps réel et vues modernes type board.
PMO très orientés agile pur, qui priorisent Kanban simple et adaptation rapide.
À qui ça convient
PMO structurés en grandes entreprises ou ETI multi-projets.
Directions IT / ingénierie avec programmes complexes et longs.
Bureaux de planification produisant baselines et rapports récurrents.
Groupes déjà standardisés sur l’écosystème Microsoft 365.
À éviter si
Équipe très petite, besoins projet simples et peu fréquents.
Priorité à la collaboration temps réel et aux vues ultra-visuelles.
PMO naissant sans compétences internes sur MS Project.
Cycles très agiles avec périmètre et priorités changeant chaque semaine.
Ce qu'on aime
Gantt détaillés, lisibles même sur des programmes complexes.
Gestion des ressources et des capacités sur plusieurs projets.
Pilotage de portefeuilles pour IT, construction et ingénierie.
Intégration fluide avec Excel, Teams et Power BI.
Outil jugé robuste et éprouvé en environnement corporate.
Ce que disent les utilisateurs
Outil de référence pour les grands projets complexes (mentionné dans ~30 % des avis)
Les diagrammes de Gantt sont très clairs (mentionné dans ~25 % des avis)
Peut vite devenir déroutant pour les nouveaux utilisateurs (mentionné dans ~20 % des avis)
L’interface semble datée et un peu lourde (mentionné dans ~15 % des avis)
Alternatives
monday.com • Plus visuel et collaboratif, mais moins poussé en PPM avancé.
Smartsheet • Interface type feuille de calcul plus simple, ressources moins robustes.
Certains liens peuvent être affiliés, mais nos sélections restent indépendantes.
4/5
Note globale
4,7/5
Satisfaction clients
9,2 avis/10
Priorisation tâches
8,6 avis/10
Vue portefeuille
9 avis/10
Prise en main facile
Trello, c’est la gestion de tâches visuelle et simple pour ceux qui n’ont pas envie de se battre avec une usine à gaz. Les tableaux et cartes permettent de voir en un coup d’œil qui fait quoi et pour quand. Il convient surtout aux petites équipes et aux indépendants, qui l’utilisent pour suivre leurs tâches, piloter de petits projets et jongler entre to-dos perso et pro.
À qui ça s’adresse
Trello s’adresse surtout aux petites équipes et freelances qui veulent mettre en place des kanbans rapides sans se noyer dans la configuration. Les avis rapportent une note autour de 4,5/5 et une recommandation d’environ 8,5/10. Évidemment, la majorité souligne la simplicité et l’interface visuelle. Trello convient donc particulièrement aux flux de tâches simples, répétitifs, où l’on privilégie la rapidité de mise en place à la sophistication.
Pourquoi on le recommande
Trello ressort comme la solution la plus simple pour des kanbans rapides : les tableaux sont visuels, la prise en main est notée autour de 9/10, et le plan gratuit suffit à beaucoup de petites équipes. Les avis soulignent qu’il permet de mettre un flux Kanban opérationnel en quelques minutes seulement, avec des intégrations utiles, là où d’autres outils demandent une configuration plus lourde. Sa limite principale reste la gestion de projets complexes, mais ce n’est pas l’objectif de ce cas d’usage avec Trello.
Ses limites (mais pas rédhibitoires)
Pour les kanbans rapides, les utilisateurs citent surtout les limites sur les projets complexes, la dépendance aux Power-Ups et l’absence de suivi des temps natif. Ces points impactent surtout les grandes organisations ou les équipes très orientées reporting, mais restent secondaires pour des petites équipes qui exploitent surtout les colonnes simples, les checklists et quelques intégrations légères.
Qui devrait l’éviter
PMO cherchant pilotage portefeuille, capacité et reporting détaillé.
Équipes qui doivent suivre précisément temps passé et budgets projets.
Organisations voulant un unique outil PPM très structuré.
Contextes très réglementés où les processus doivent être verrouillés.
À qui ça convient
Petites équipes qui veulent des kanbans rapides et visuels.
Freelances et micro-entreprises gérant missions et clients.
Équipes marketing / contenu suivant leurs campagnes.
Utilisateurs qui découvrent la gestion de projet visuelle.
À éviter si
Portefeuille de projets avec fort besoin de reporting consolidé.
Suivi précis des charges et temps par tâche obligatoire.
Contexte très réglementé avec forte exigence d’audit trail.
Besoin d’un tout-en-un Gantt, ressources, finances intégrés.
Ce qu'on aime
Kanban très visuel, cartes faciles à manipuler.
Prise en main quasi immédiate, peu de formation nécessaire.
Plan gratuit suffisant pour beaucoup de petites équipes.
Intégrations pratiques avec Slack, Google et autres outils.
Automatisations Butler utiles pour tâches répétitives simples.
Ce que disent les utilisateurs
On visualise nos tâches en un coup d’œil (mentionné dans ~30 % des avis)
Très simple pour organiser un petit projet d’équipe (mentionné dans ~25 % des avis)
Manque de fonctionnalités dès que les projets grossissent (mentionné dans ~20 % des avis)
Le plan gratuit suffit largement pour commencer (mentionné dans ~15 % des avis)
Alternatives
Asana • Plus structuré et complet, mais moins immédiat pour un simple Kanban.
monday.com • Plus riche en vues et reporting, mais paramétrage plus long.
Certains liens peuvent être affiliés, mais nos sélections restent indépendantes.
ClickUp permet aux équipes qui visent une suite tout-en-un de rassembler tâches, documents, temps passés, chat et reporting dans un seul environnement. Oui, oui, tout ça. Les avis montrent qu’il remplace souvent 3 à 5 outils séparés, surtout dans les PME et équipes produit/marketing, à condition d’accepter une phase de configuration et de prise en main plus exigeante.
4,7/5
Note globale
4,6/5
Satisfaction clients
8,5 avis/10
Facilité usage
9 avis/10
Qualité support
9,5 avis/10
Gestion tâches + projets
À qui ça s’adresse
ClickUp cible surtout les PME, scale-ups, agences et équipes produit/ops qui cherchent une suite tout-en-un pour centraliser tâches, documents, suivi du temps et reporting. Les avis indiquent une satisfaction globale autour de 4,7/5 et une recommandation à 8,8/10, avec une forte base de petites entreprises numériques. Il convient aux équipes prêtes à investir un peu de temps dans la configuration pour remplacer plusieurs outils à la fois.
Pourquoi on le recommande
ClickUp est une suite tout-en-un robuste pour les équipes qui veulent centraliser tout (ou presque) dans un seul environnement. Les avis mettent en avant la personnalisation poussée et le rapport fonctionnalités/prix (~4,5/5), ainsi qu’une évolution produit rapide. En contrepartie, cette richesse implique une complexité supérieure et une prise en main progressive, mieux adaptée aux équipes prêtes à structurer leurs workflows.
Ses limites (mais pas rédhibitoires)
Les avis soulignent surtout une courbe d’apprentissage parfois raide, une interface jugée chargée, des bugs ponctuels et une expérience mobile en retrait. Ces limites touchent surtout les petites équipes sans admin dédié ou les espaces très volumineux, mais restent gérables pour les organisations qui standardisent leurs vues, limitent les fonctionnalités visibles et optimisent automations et volumes de données.
Qui devrait l’éviter
TPE qui veulent juste une to-do partagée très simple.
Équipes sans admin ni temps pour gérer configuration et gouvernance.
Organisations intolérantes aux lenteurs ou bugs ponctuels en production.
Équipes 100 % mobiles gérant tout depuis smartphone ou tablette.
À qui ça convient
PME et scale-ups voulant une suite tout-en-un configurable.
Agences marketing / créa centralisant campagnes et clients.
Équipes produit / ops qui mixent projet, docs et rituels.
Équipes distribuées cherchant un hub de travail partagé.
À éviter si
Projets ultra simples, sans besoin de vraie suite tout-en-un.
Refus d’investir dans onboarding et formation minimale d’équipe.
Exigence extrême de stabilité et performance sans aucun ralentissement.
Usage quasi exclusif sur mobile pour pilotage quotidien.
Ce qu'on aime
Suite tout-en-un qui remplace plusieurs outils séparés.
Personnalisation poussée des workflows, vues, statuts et champs.
Vues multiples (liste, Kanban, Gantt, calendrier, mind map).
Automatisations puissantes pour tâches et processus récurrents.
Rapport fonctionnalités/prix jugé très solide par les utilisateurs.
Ce que disent les utilisateurs
On regroupe enfin tout notre travail au même endroit (mentionné dans ~30 % des avis)
Très puissant, mais la prise en main est exigeante (mentionné dans ~25 % des avis)
Parfois lent et un peu bogué sur les gros espaces (mentionné dans ~15 % des avis)
Excellent rapport fonctionnalités / prix pour une PME (mentionné dans ~20 % des avis)
Alternatives
Asana • Plus simple à prendre en main, mais moins tout-en-un.
monday.com • Interface très lisible, mais moins flexible et exhaustive.
Certains liens peuvent être affiliés, mais nos sélections restent indépendantes.
Smartsheet offre aux équipes des tableurs-projets évolués, combinant une grille façon Excel, une vue Gantt, des cartes et des tableaux de bord dans un environnement unique. Les avis soulignent que l’outil convient bien à celles qui géraient déjà leurs projets et budgets dans des tableurs classiques, mais cherchaient plus d’automatisation et de reporting sans abandonner la logique lignes/colonnes. En contrepartie, les fonctions avancées demandent un peu de temps et de paramétrage pour révéler tout leur potentiel.
4,4/5
Note globale
92 %
Avis 4 ou 5★
99 %
Satisfaction globale
9,5 avis/10
Gantt performant
9 avis/10
Intention de reco.
À qui ça s’adresse
Smartsheet s’adresse aux équipes qui vivent déjà dans les tableurs et veulent passer à de vrais tableurs-projets : PMO, équipes IT, métiers ou marketing. Avec 4,5/5 de note moyenne et 8,4/10 en recommandation, il séduit surtout ceux qui pilotent plusieurs projets dans des grilles Excel mais ont besoin de collaboration, d’une vue Gantt claire et d’un reporting consolidé, sans abandonner le format lignes/colonnes cher aux Excel lovers.
Pourquoi on le recommande
La vraie force de Smartsheet, c’est bien ses tableurs-projets. Vous avez une interface de feuille de calcul familière, mais enrichie de vues Gantt, cartes et dashboards. Les avis soulignent les automatisations et roll-ups qui transforment des dizaines de fichiers Excel en un cockpit projet unique… au prix d’une complexité plus élevée que les outils basiques.
Ses limites (mais pas rédhibitoires)
Les avis mentionnent surtout la courbe d’apprentissage (oui, pour Smartsheet aussi…), la surcharge visuelle sur gros tableurs-projets, des ralentissements sur feuilles volumineuses et un coût jugé élevé pour des petites équipes. Ces limites pèsent surtout quand on veut tout faire dans une seule feuille ou sans gouvernance, mais restent gérables en structurant les modèles, scindant les gros fichiers et réservant les licences aux éditeurs clés.
Qui devrait l’éviter
TPE qui veulent uniquement une to-do partagée ultra simple.
Équipes peu à l’aise avec les tableurs et la logique lignes/colonnes.
Organisations sans sponsor pour créer modèles, rapports et automatisations.
Équipes qui privilégient une UX très moderne plutôt qu’une grille format Excel.
À qui ça convient
Équipes qui gèrent déjà projets et budgets dans Excel.
PMO / IT multi-projets voulant centraliser rapports et dashboards.
Équipes terrain (construction, industrie, services) fans de tableurs.
Équipes marketing/projets transverses qui aiment la vue feuille + Gantt.
À éviter si
Projets ultra simples, peu de tâches et peu d’utilisateurs.
Équipes sans affinité avec les tableaux type Excel.
Très gros volumes de données avec exigence de performance maximale.
Budget serré pour multiplier les licences éditeur.
Ce qu'on aime
Interface feuille de calcul, rassurante pour les fans d’Excel.
Vues grille, Gantt, Kanban et calendrier sur les mêmes données.
Automatisations qui réduisent emails et saisies manuelles répétitives.
Collaboration temps réel avec commentaires, pièces jointes et formulaires.
Rapports et roll-ups pour consolider plusieurs feuilles projets.
Ce que disent les utilisateurs
On passe d’Excel à un vrai outil projet (mentionné dans ~30 % des avis)
La grille est familière, mais bien plus puissante (mentionné dans ~25 % des avis)
La prise en main avancée demande un peu de temps (mentionné dans ~20 % des avis)
Très utile pour collaborer autour d’un même tableau (mentionné dans ~20 % des avis)
Alternatives
Airtable • Plus moderne et base de données-like, mais moins orienté Gantt classique.
ClickUp • Suite plus large, mais moins centrée sur le format tableur.
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Wimi apporte aux équipes qui cherchent une option « made in France » une suite collaborative complète, hébergée en France et pensée pour la sécurité. Les avis soulignent la facilité de prise en main, la centralisation des outils (chat, visio, GED, tâches) et un support jugé excellent, ce qui en fait une alternative crédible aux suites américaines pour qui priorise souveraineté et proximité.
4,7/5
Note globale
93 %
Satisfaction client
9,2 avis/10
Planif. projets
9,2 avis/10
Partage fichiers
8,8 avis/10
Appli mobile
À qui ça s’adresse
Wimi vise les organisations françaises qui veulent une suite collaborative “made in France” : PME/ETI, cabinets de conseil, services projets et structures sensibles. Avec 4,7/5 de note moyenne, 8,9/10 en recommandation et un sentiment utilisateur de 93/100, il séduit celles qui valorisent hébergement en France, sécurité, et un support francophone, plutôt qu’un écosystème d’intégrations géant.
Pourquoi on le recommande
Au-delà de l’avantage indéniable du “made in France”, Wimi combine une suite tout-en-un (projets, fichiers, chat, visio, réseau social) avec l’hébergement des données en France et un support 100 % français. Wimi est une alternative souveraine crédible aux grandes suites américaines, même si l’écosystème d’intégrations reste plus modeste.
Ses limites (mais pas rédhibitoires)
Les retours utilisateurs relèvent surtout des intégrations moins nombreuses, des limites sur certaines fonctions PM avancées, un stockage jugé parfois un peu serré et une expérience temps réel perfectible (chat, notifications, mobile). Ces contraintes pèsent surtout pour des organisations très outillées ou exigeant un PM ultra avancé, mais restent gérables pour la majorité qui cherche surtout une suite collaborative souveraine et centralisée.
Qui devrait l’éviter
PMO exigeant un outillage projet très avancé et fortement structuré.
Équipes qui dépendent d’un grand nombre d’intégrations SaaS spécialisées.
Utilisateurs centrés sur le chat temps réel intensif et la mobilité.
TPE au budget très réduit cherchant une solution quasi gratuite ou minimaliste.
À qui ça convient
PME/ETI françaises qui priorisent souveraineté et hébergement local.
Cabinets de conseil, agences et bureaux d’études multi-projets.
Services projets/DSI voulant centraliser projets et échanges internes.
Organisations sensibles ou publiques avec forts enjeux sécurité et RGPD.
À éviter si
Gestion d’un portefeuille de projets très complexes et normés.
Forte dépendance à de nombreuses intégrations SaaS spécialisées.
Culture d’équipe centrée sur chat temps réel et appels vocaux.
Volumes massifs de fichiers lourds à stocker en continu.
Ce qu'on aime
Suite collaborative made in France, souveraine et hébergée localement.
Plateforme 5-en-1 : projets, GED, chat, visio, réseau social.
Interface simple et fluide, bien notée en facilité d’utilisation.
Support client réactif, jugé disponible et efficace par les utilisateurs.
Collaboration facilitée avec clients et partenaires via espaces et droits fins.
Ce que disent les utilisateurs
Une vraie suite 5-en-1 souveraine et sécurisée (mentionné dans ~30 % des avis)
Facile à utiliser avec un support client exemplaire (mentionné dans ~25 % des avis)
Idéal pour centraliser projets, fichiers et échanges clients (mentionné dans ~25 % des avis)
Moins riche en intégrations, mais parfait pour nos besoins (mentionné dans ~15 % des avis)
Alternatives
Talkspirit • Plus orienté réseau social interne, moins structuré pour le pilotage projet.
monday.com • Plus d’intégrations et d’apps tierces, mais pas une solution souveraine.
Certains liens peuvent être affiliés, mais nos sélections restent indépendantes.
Ce que nous ont appris les avis utilisateurs
Note moyenne autour de 4,3/5 : les équipes apprécient surtout la clarté des vues liste, Kanban et Gantt, et la visibilité sur les délais.
La plupart des équipes déclarent être opérationnelles en quelques jours grâce aux modèles de projets et aux checklists préconfigurées.
Le prix est cohérent avec les gains de temps pour la majorité des avis ; les réserves portent plutôt sur les paliers payants pour les fonctionnalités avancées.
Il existe un lien clair entre qualité du support et adoption durable : l’accompagnement au déploiement et les tutoriels facilitent le changement d’outil.
3 avis/4 valorisent les intégrations Google, Microsoft et CRM : la synchronisation des tâches et des calendriers limite les doubles saisies et les oublis.
Questions fréquentes
Combien de temps faut-il pour être opérationnel avec un nouvel outil ?
Pour un déploiement standard, comptez en général 2 à 6 semaines : création des modèles, imports CSV, premiers projets pilotes. Dès que vous ajoutez gestion fine des droits et accès (SSO/SCIM), champs personnalisés et connexion au CRM, le calendrier s’allonge un peu. Prévoyez aussi des ateliers de cadrage et une formation cadrée pour vos équipes : c’est là que vous alignez statuts, rituels et façons de travailler… et que vous jouez vraiment l’adoption.
Quelles intégrations sont indispensables pour un logiciel de gestion de projet ?
Dans la pratique, le trio Microsoft 365 ou Google Workspace, Slack et un CRM couvre l’essentiel des usages. Ensuite, la différence se fait sur la synchronisation avec l’agenda (tâches <> calendrier) et sur un SSO avec provisioning pour limiter au maximum les frictions d’accès. Avant de signer, prenez le temps de vérifier le mappage des champs, les quotas d’API et la latence de synchronisation : ce sont eux qui feront que l’intégration sera réellement fluide au quotidien.
Pourquoi la facture grimpe-t-elle après 6–12 mois ?
Au départ, les licences de base paraissent raisonnables… puis la facture monte avec le reporting avancé, les automatisations et la gestion des ressources, activés au fil des usages. La formation et certains services d’accompagnement viennent aussi se rajouter à la note. Le bon réflexe : projeter le TCO sur 24 mois et challenger l’utilité réelle de chaque add-on par rapport à vos scénarios concrets. À répéter régulièrement !
Les 10 logiciels comparés tiennent-ils la charge à 100 utilisateurs et plus?
Oui, mais pas tous au même niveau. Jira, Wrike, monday.com, Asana, Microsoft Project, ClickUp, Smartsheet et Trello sont clairement dimensionnés pour plusieurs centaines d’utilisateurs, avec des offres Enterprise (SSO, rôles avancés, gouvernance). Zoho Projects et Wimi peuvent aussi gérer 100+ comptes, mais fonctionnent mieux si la structure des projets, droits et modèles est bien cadrée. Au-delà, le vrai sujet n’est plus la “tech” mais votre gouvernance : sans gouvernance (archivage, conventions de nommage, rôles clairs), même un outil taillé pour un grand groupe finit par devenir une usine à gaz.
Les tableaux de bord suffisent-ils sans BI externe ?
Pour suivre l’avancement, la charge et les délais, les tableaux de bord natifs font généralement le job. En revanche, dès que vous devez piloter des KPIs multi-équipes ou consolider plusieurs portefeuilles, il faut prévoir des modules de reporting avancé ou un export vers une BI. Regardez de près trois points avant de trancher : la granularité des données, la profondeur d’historique et la fréquence réelle d’actualisation.
Autres solutions testées
En dehors de notre sélection principale, les avis d’équipes françaises soulignent d’autres solutions de gestion de projet qui méritent aussi votre attention. Surtout si vous avez des besoins spécifiques en sécurité, suivi du temps, ou documentation centralisée.
Suite de gestion de projet client complète, Teamwork.com combine planification, suivi du temps et rentabilité projet pour agences, ESN et sociétés de services. Les utilisateurs apprécient le lien projet–facturation, le time tracking intégré et le bon rapport qualité-prix (~4,5/5). En contrepartie, la gestion multi-projets peut devenir lourde.
Ahh, Notion. L’outil se positionne comme un workspace tout-en-un mêlant notes, bases de données et projets, idéal pour petites et moyennes équipes qui centralisent docs, tâches, CRM léger et projets. Les avis saluent sa flexibilité, ses nombreux templates et sa base de connaissances (~4,6/5). En revanche, la courbe d’apprentissage et les automatisations limitées reviennent souvent.
MeisterTask propose un Kanban moderne et très visuel pour les équipes qui veulent un outil léger et intuitif pour leurs tâches et petits projets collaboratifs. Les utilisateurs mettent en avant une interface claire, des automatisations simples et une adoption rapide, y compris sur mobile (~4,7/5). En revanche, le reporting avancé reste limité.
Basecamp reste un classique pour coordonner simplement communication, tâches et plannings, surtout dans les équipes non-techniques, agences et petites entreprises. Les avis apprécient sa simplicité d’usage et le fait de centraliser messages, fichiers et échéances (~4,3/5). En contrepartie, il manque de profondeur pour les projets complexes et les workflows agiles.
Nifty, c’est une suite tout-en-un moderne pour équipes distribuées, qui veulent rassembler tâches, documents, discussions et roadmaps dans un seul espace. Les utilisateurs soulignent une UX claire, un très bon rapport qualité-prix et des intégrations utiles (~4,6/5). En revanche, l’outil montre ses limites sur l’automatisation et les volumes très élevés de tâches.
Notre méthodologie
Ce guide s'appuie sur plusieurs dizaines d'heures d'analyse de données issues de grandes plateformes d'avis B2B et de retours clients fournis par les éditeurs. Nous combinons analyse statistique à grande échelle, modèles de langage (LLMs) et validation par des experts du domaine.
Analyse des avis (plusieurs dizaines de milliers d'avis vérifiés)- Données issues des principaux sites d'avis logiciels B2B et de retours éditeurs (2023–2025)
- Détection des faux avis et déduplication via modèles de langage spécialisés
- Regroupement automatique des thèmes clés : expérience utilisateur, qualité du support, rapport qualité-prix, intégrations, fiabilité
- Analyse de sentiment et suivi temporel pour repérer les tendances durables
- Regroupement des avis par profils d'entreprise : taille, secteur, maturité outil
- Identification des scénarios récurrents (PMO multi-projets, agences, équipes produits, free-lances, etc.)
- Attribution de chaque outil à des “best for” précis en fonction des gains observés et des limites remontées
- Vérification que chaque recommandation repose sur un volume significatif d'avis récents
- Entretiens avec des responsables produit, opérations et métiers utilisateurs de ces outils
- Mise en perspective des résultats des LLMs avec l'expérience terrain de consultants et intégrateurs
- Relecture critique et vérification factuelle par des spécialistes indépendants du logiciel B2B