Comment calculer le ROAS minimum pour garantir la performance de vos actions publicitaires ?
Spoiler : il n’y a pas de bon ou de mauvais ROAS.
Évitez, bien entendu, de vous retrouver avec un résultat inférieur à 1 ou pire, négatif, car il signifie que vos actions ne sont tout bonnement pas rentables.
Mais dès lors que votre ROAS se révèle positif, à quel moment faut-il vous enthousiasmer ?
Vous pouvez partir sur la base suivante :
- ROAS de 1 à 3 😐 : c’est bien, vous êtes à l’équilibre. Néanmoins, ce résultat ne suffit pas vraiment pour assurer la rentabilité au global de l’entreprise.
- ROAS de 4 😃 : présenté comme l’objectif à atteindre pour la plupart des organisations, il indique que votre marketing génère réellement du profit.
- ROAS de 5 et + 🤩 : chaque euro dépensé vous en rapporte 5. Bravo, vos actions publicitaires performent beaucoup !
Toutefois, prenez ces données avec des pincettes, puisque tout dépend de vos ambitions, et surtout de la marge réalisée par votre entreprise.
En effet, chaque structure évolue dans une configuration différente, et possède des objectifs de croissance propres. Par exemple, une startup qui doit rapidement atteindre le seuil de rentabilité préfèrera l’obtention d’un ROAS conséquent. Si votre taux de marge est important, vos frais d’exploitation faibles, votre retour sur investissement des dépenses publicitaires peut être revu à la baisse.
Moralité : à vous de calculer le Return On Ad Spend idéal en fonction des spécificités de votre organisation, et, bien sûr, de réfléchir à la mise en place d’actions pour le faire croître au fil du temps.
💡Notre conseil : observez en parallèle le fameux ROI et tout autre indicateur pertinent afin d’évaluer au plus juste vos performances générales. En effet, il arrive que vos campagnes publicitaires génèrent des effets positifs difficilement quantifiables et palpables, comme l’augmentation de votre notoriété.