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Sauvegarder c’est bien, restaurer c’est mieux !

Par Fabien PaupierMis à jour le 24 juin 2020, publié initialement en novembre 2016

La sauvegarde des données de votre entreprise est un enjeu réel. De par leur confidentialité, et surtout parce qu’elles vous sont indispensables pour travailler. Aussi la question de leur restauration en cas d’incident doit être posée. Retrouvez toutes nos astuces sur la sauvegarde.

Quelle sauvegarde sera capable de nous restituer les données ?

Les logiciels gratuits et leurs limites

Certes il existe des solutions de sauvegarde en ligne gratuites. Mais sont-elles fiables ? Dans la mesure où vous n’avez rien payé pour, il ne serait pas choquant qu’en cas d’incident, l’éditeur démente toute responsabilité. Penchez-vous sur leurs CGV (Conditions Générales de Vente) et déduisez ce qu’il se passerait en cas de pertes de données : a priori pas grand chose, en tout cas rien de garanti. Ce qui n’est pas pour rassurer.

La sauvegarde physique : tout sauf invincible

Or vous voulez vraiment mettre vos données en lieu sûr, de manière à les retrouver quoi qu’il advienne. Faut-il alors ne vous fier qu’aux sauvegardes physiques ? Type disques durs externes ou serveurs locaux ? C’est la même démarche que de placer ses objets de valeur dans un coffre fort à la banque : il arrive que la banque se fasse braquée.


Se reposer sur des acteurs extérieurs au problème

Si rien n’est sûr, que faire ? De nombreuses entreprises sont tentées de s’en remettre à leurs prestataires, sans forcément que ce soit les bons. L’expert comptable par exemple, dispose de fait de toutes vos données comptables et financières, est-il garant de leur sauvegarde ? Réponse : non. Il a un simple accès, mais n’entreprendra pas les démarches visant à les protéger. Pour l’excellente raison que ce n’est ni son rôle, ni son expertise, aussi digne de confiance soit-il par ailleurs.

À qui s’en remettre ?

Les éditeurs dédiés

Quand l’enjeu est de taille, recourir à un professionnel s’impose, en l’occurrence ici : à un prestataire spécialisé dans la sauvegarde en ligne. Son service sera payant, et s’accompagnera de garanties. L’éditeur s’engage sur la protection et la restitution de vos données, et répondra de sa responsabilité le cas échéant.

Un engagement sur la responsabilité

Les prestataires de solutions de sauvegarde affichent souvent leur PRA : Plan de Reprise d’Activité. Exprimé en heures, il correspond au délai maximum selon lequel vous seriez dépanné. Un bon indicateur pour apprécier sa réactivité d’une part, et pour jauger du tort potentiellement subi dans le cas d’une interruption temporaire d’accessibilité à vos données.

Des gages de confiance

Si ce PRA sert aux éditeurs à se différencier pour valoriser leur offre de service, il est également un gage. Imaginons le cas où le temps de réactivité s’avèrerait plus long que celui annoncé, vous pourriez légitimement faire une réclamation arguant des dommages subis.

Quelles restaurations possibles ?

Les versions complètes ou dernières en date

Le plus judicieux pour effectuer vos sauvegardes est de les dédoubler : en faire une physique, et une en ligne. Et il est alors intéressant de les rendre complémentaires : faire du versionning en local – quand vos sauvegardes viennent s’incrémenter les unes aux autres – et ne conserver qu’une version en ligne : la plus récente par exemple.

Restaurer tout ou partie des données

En répartissant vos sauvegardes, vous équilibrez le risque. Maintenant que ce passera-t-il en cas d’incident ? En fonction de votre éditeur, la procédure de restauration sera plus ou moins immédiate et/ou fiable. Dans le cas où vous n’auriez perdu qu’une partie de vos données, enclencher un protocole de récupération globale serait disproportionné. Cela prendrait du temps inutilement et retarderait d’autant votre productivité par ailleurs. Aussi des solutions comme Beemo2Cloud proposent-elles de proportionner la restauration à la situation. Il est ainsi possible de récupérer les données perdues, et ce sous un délai raccourci.

Prévoir le plus de scénarios possibles


Les risques sont de natures diverses :

  • piratage informatique ou virus côté cloud ;
  • dégâts matériels type incendies ou inondations côté sauvegardes physiques.


Pour vous prémunir au mieux contre ces risques, choisissez un prestataire qui en prévoit le plus possible. Les différents scénarios de restauration des données doivent couvrir un panel au plus large. Avec certains éditeurs, comme Beemo2Cloud, une box vous est fournie, servant de sauvegarde locale. Si bien qu’en cas de besoin vous pouvez vous-même procéder manuellement à une data recovery. Sinon, la copie de la sauvegarde cloud peut aussi vous être transmise au plus vite par l’éditeur.

Dans votre démarche de sauvegarde et de protection des données, la question de leur récupération ne doit pas être omise. On ne s’y penche pas tant que tout va bien, puis on tombe des nues au premier incident. Plutôt que de laisser les risques non maîtrisés menacer la productivité de votre structure, armez-vous d’une solution fiable et qui s’engagera noir sur blanc à faire ce qu’il faut en cas de besoin. Beemo2Cloud, évoqué ici, s’inscrit particulièrement dans cette optique.

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