Check list pour sauvegarder vos données d’entreprise

Sauvegarder les données de votre entreprise est indispensable. Aussi, faute de temps ou d’informations, elle n’est pas toujours bien réalisée pour assurer une bonne récupération des données. Voici la liste des points à garder en tête, pour faire ce qu’il faut, simplement et en continu :

Le thème de la sauvegarde, s’il est important, ne doit pas pour autant devenir chronophage. Vous avez bien d’autres aspects à gérer. Vous souhaitez protéger vos données par précaution, sans que cela implique de manipulations trop fréquentes ou laborieuses de votre côté.

Vous espérez donc trouver un prestataire à qui déléguer sereinement cet aspect. Quitte à ce qu’il vous relance quand certaines démarches doivent émaner de vous. Le but : que le logiciel vous serve à la fois de garde-fou et de pense-bête.

Sur un logiciel backup comme Beemo2Cloud, vous êtes prévenu en cas d’actions à réaliser. Si aucune sauvegarde n’a été faite depuis dix jours par exemple. Les critères et la fréquence de ces rappels sont paramétrables. Vous choisissez ainsi le rythme et les conditions selon lesquels vous souhaitez établir et suivre vos sauvegardes.

Où sauvegarder vos données ? Il y a deux cas de figure :

• en local. Chez Beeomo2Cloud c’est une box qui vous est fournie pour y sauvegarder et conserver en continu vos données. Un disque dur externe peut aussi être utilisé.
• en externalisé. Vos données sont alors stockées soit en ligne dans le cloud, soit sur une box ou un support d’un autre site.

En dupliquant ainsi les supports de sauvegarde, vous parez aux principaux risques : virus ou piratage de votre système informatique par exemple, mais aussi dégâts matériels type feu ou inondation.

Certains éditeurs vont jusqu’à tripler les points de sauvegarde, pour plus de fiabilité. Beemo2Cloud par exemple conserve les données de ses clients sur trois relais différents : deux datacenters et un serveur de stockage en réseau, aussi appelé NAS (Network Attached Storage). En minimisant la probabilité de perte de données, l’éditeur rassure sur sa capacité à les restituer quoi qu’il advienne.

Quitte à doubler ou tripler vos points de stockage, autant différencier la nature de vos sauvegardes. En version locale, vous pouvez par exemple opter pour une sauvegarde incrémentale, dite versioning. Tandis qu’en ligne, vous choisirez de ne sauvegarder qu’une version de vos données, la plus récente par exemple, et d’écraser les précédentes.

Qu’elles soient sur vos parcs informatiques en local ou « dans les nuages », vos données doivent être prémunies contre d’éventuelles attaques, type fishing (hameçonnage), malwares (virus), ou toutes sortes d’intrusions malveillantes (ransomware, etc.). Différents dispositifs existent : le chiffrage des données et les clés de cryptage pour y accéder par exemple, également la redondance.

Bien que protégées, vos données doivent néanmoins rester accessibles. Le comble serait de les sécuriser si bien que même vous n’y ayez plus accès, ou que l’accès vous devienne laborieux. La solution doit être un barrage aux intrus, sans vous compliquer le quotidien pour autant. Or certains outils ont des bandes passantes ou des dispositifs pouvant freiner l’accessibilité aux données, vous imposant un délai d’attente pour les consulter.

Il y a autant de typologies d’incidents que de facteurs de risques. Aussi votre fournisseur ne pourra pas tous les résoudre de la même manière. Dans le doute, optez pour un prestataire proposant plusieurs scénarios de restauration. Avec ses deux datacenters, Beemo2Cloud garantit une rapidité de restauration. Par ailleurs, via la box de sauvegarde présente dans votre entreprise, vous pourrez aussi récupérer vous-même les données. Ce qui est souvent le plus rapide in fine.
 

Dans le cas d’une intervention nécessaire de l’éditeur, vous serez tributaire de son temps de réaction. Une variable si importante que les éditeurs s’engagent souvent dessus : en annonçant leur PRA (Plan de Reprise d’Activité). Beemo2Cloud s’engage par exemple sur une durée 72h maximum pour un retour total à la normale.

Il peut arriver qu’une partie seulement de vos données soit touchée. Attendre alors le lancement d’un plan de restauration complet est inadapté. La procédure, inutilement exhaustive, sera plus longue qu’une simple restauration ponctuelle. Sur des solutions comme Beemo2Cloud, les restaurations partielles sont possibles. Dans la même optique, il est possible de paramétrer les sauvegardes pour ne cibler que les fichiers modifiés. Plutôt que de ré-englober chaque fois la totalité déjà enregistrée, avec le temps de téléchargement et la mobilisation du périphérique que cela implique, seuls les changements apparus entre-temps sont pris en compte.

Lors du choix de votre fournisseur de sauvegarde, prenez un évolutif. Car votre structure évoluera : il se peut qu’elle croisse, ou l’inverse. Par extension, le parc informatique grandira ou diminuera avec elle. La solution qui le protège aujourd’hui devra pouvoir suivre, en étant scalable.

Plus votre logiciel de sauvegarde sera intuitif et ergonomique, plus vous serez autonome et mieux vous vous en servirez. Aussi sa mise en œuvre doit pouvoir se faire simplement. Pour cela, vérifiez la compatibilité de l’outil avec vos logiciels d’entreprise utilisés par ailleurs.

Dernier point, et pas des moindres, la fiabilité. Difficile d’évaluer le sérieux des différentes offres du marché. Vu l’enjeu, ne prenez pas de risque. Optez pour un prestataire avec un bon pedigree : rien de tel qu’un acteur historique avec une belle expérience à l’appui. Si en plus ses datacenters hébergent vos données en France, vous aurez toutes les raisons de lui faire confiance.

La sauvegarde est un enjeu réel. Et les petites entreprises sont aussi concernées que les grandes. Aussi doivent-elles opter pour des solutions simples mais fiables, avec des fonctionnalités aussi performantes et sécurisées que celles des grands groupes.