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Travaillez mieux maintenant et anticipez vos performances futures grâce au reporting commercial !

Par Jennifer Montérémal

Mis à jour le 2 juin 2025, publié initialement le 12 avril 2022

Un bon vendeur… c’est un vendeur qui fait du chiffre.

Mais pour évaluer correctement ses performances et ne pas avancer à l’aveugle, encore faut-il qu’il dispose d’outils d’analyse !

Heureusement, les responsables commerciaux et leurs équipes peuvent compter sur le reporting commercial. En offrant une retranscription des activités et des résultats sur une période donnée, il constitue un support de pilotage indispensable.

Pourtant, il effraie parfois certains collaborateurs, qui le perçoivent comme un dispositif de flicage.

Laissez-nous vous expliquer les nombreux bénéfices à en retirer, et ce pour l’ensemble des forces de vente. On vous expliquera aussi comment rédiger un reporting commercial pertinent, grâce aux bonnes pratiques à appliquer.

Cerise sur le gâteau, téléchargez notre reporting commercial Excel gratuit en fin d’article !

Qu'est-ce que le reporting commercial ?

Définition du reporting commercial

Établir un reporting commercial consiste à collecter puis à analyser les données relatives aux forces de vente afin :

  • d’évaluer avec précision leurs performances et le niveau d’atteinte des objectifs,
  • de suivre le bon déroulé des activités de manière générale.

Il retranscrit alors les résultats individuels de chaque commercial, mais aussi ceux de l’équipe au global.

Ce document se compose généralement d’un tableau de bord ou d’un rapport d’activité, grâce auquel il est possible de surveiller différents KPIs déterminés en amont, selon la périodicité choisie.

☝️ Si le reporting commercial accompagne la stratégie de l’entreprise, il sert également à challenger les individus (ils peuvent comparer leurs performances avec celles de leurs collègues !), puisque souvent, une partie de leur salaire se détermine en fonction de leurs chiffres.

Quel est son rôle dans l'entreprise ?

Le reporting commercial n’est pas un long rapport de travail de plus à stocker. C’est une solution stratégique qui transforme l'action de collecter des données en prise de décision concrète, utile et orientée résultats. Dans l’entreprise, le reporting commercial est un outil fiable qui aligne l’équipe commerciale autour d’objectifs mesurables, à chaque étape du cycle de vente et sur l’ensemble du pipeline.

Son rôle ?

  1. Donner du sens à l’activité commerciale,
  2. identifier ce qui fonctionne sur une période donnée,
  3. ce qu’il faut améliorer,
  4. et où concentrer les efforts.

✅ En apportant une analyse des données claire, cet outil de reporting permet de suivre les résultats, de mieux comprendre les besoins clients, et d’évaluer l’efficacité des actions menées. Au final, créer un reporting commercial devient un outil central dans le pilotage commercial. Il fournit une vision exploitable de la performance, aide à optimiser la prise de décision, et oriente la stratégie commerciale avec rigueur, fréquence et réactivité. Un vrai gain de temps dans le processus de vente !

Quelle est la différence entre le reporting commercial et le tableau de bord ?

Un reporting commercial sert à analyser des données dans la durée. Il repose sur un processus de collecte, d’organisation et d’évaluation d’indicateurs liés à l’activité commerciale. On s’en sert pour mesurer de manière simple les résultats, comprendre les écarts, et améliorer les performances.

Le tableau de bord commercial, lui, agit comme une interface synthétique. Il affiche les données clés de manière visuelle, en temps réel, pour suivre l’évolution des ventes, du nombre de clients ou du chiffre d’affaires. On l’utilise pour ajuster en continu, sans attendre.

Autrement dit ? Le reporting explique le pourquoi. Le tableau de bord montre le maintenant. Les deux sont liés, mais pas identiques. L’un offre une fonction analytique, l’autre une lecture immédiate. Ensemble, ils forment un duo puissant pour créer une stratégie efficace, piloter la performance commerciale et transformer les informations en décisions utiles.

Le reporting commercial au service des besoins des commerciaux

Quels sont les avantages concrets à retirer du reporting commercial ?

Travaillez plus efficacement et gagnez du temps

Entre prospection, gestion de la relation client ou encore suivi des comptes, la charge de travail imposée aux commerciaux est conséquente. Hors de question, alors, de s’éparpiller. Cette précieuse bande passante doit être allouée à des activités qui rapportent vraiment, car le but de tout commercial est de faire de l’argent !

Grâce aux reportings, les équipes sont en mesure d’analyser leurs performances pour concentrer leurs efforts là où ça vaut vraiment le coup. Elles gagnent alors du temps… et en efficacité !

Appréhendez mieux vos faiblesses

Il arrive que les résultats obtenus ne soient pas à la hauteur du prévisionnel préalablement établi.

Le tableau de bord commercial permet de mesurer ces écarts, mais surtout de les comprendre ! En effet, l’objectif de cet outil n’est pas de « sanctionner », mais d’aider tout un chacun à s’améliorer et à emprunter la bonne direction au moyen d’informations fiables.

Communiquez activement

La vente reste avant tout un travail d’équipe. Bonne nouvelle, le reporting commercial soutient la communication.

Quelles actions ont été réalisées ? Où se situe tel ou tel client dans le pipeline de vente ? Etc.

Pratique en cas de départ ou d’absence d’un collaborateur, ou pour fournir un support de travail à des commerciaux mobiles qui n’ont pas l’occasion d’échanger quotidiennement avec leurs collègues.

☝️ Cette communication améliorée favorise en parallèle l’alignement marketing-vente. Une aubaine, puisque les deux services sont tenus d’avancer main dans la main (le département marketing fournit les leads, les commerciaux les transforment en clients) pour garantir l’atteinte des objectifs de l’entreprise.

Challengez-vous !

La dynamique de vente repose en grande partie sur le challenge.

Autrement dit, motiver les commerciaux à performer (et à obtenir leurs primes) implique de leur apporter de la visibilité sur les performances de chacun. Et donc de s’appuyer sur des données solides et mises à jour en temps réel.

Anticipez votre orientation stratégique

En étudiant les statistiques révélées par votre reporting commercial, vous décelez des tendances et percevez la manière dont votre marché et vos prospects évoluent.

En somme, grâce au reporting, vous disposez de clés pour vous projeter vers l’avenir, et arbitrer sur une éventuelle réévaluation de votre offre et de votre scénario de vente.

Quels sont les KPI commerciaux les plus importants à suivre ?

Pourquoi suivre des indicateurs commerciaux ?

Choisir les bons indicateurs, c’est un peu comme choisir le bon outil dans une caisse à outils : si vous prenez le mauvais, vous risquez de forcer… pour rien. Un bon KPI de vente vous donne une information utile, exploitable et mesurable, sans surcharge. Il doit servir la stratégie commerciale, pas l’embrouiller.

Notre conseil : pour faciliter la compréhension et la lecture du reporting, hors de question de le surcharger d’informations. Concentrez-vous plutôt sur quelques indicateurs clés. Mais les KPIs commerciaux se comptent par dizaines ! C’est pourquoi il convient de vous interroger en amont sur vos réels besoins, afin de sélectionner les métriques qui répondent aux objectifs de l’équipe commerciale et/ou aux objectifs individuels.

Quels indicateurs suivre ?

👉 Quelques exemples d’indicateurs de performance commerciale à surveiller :

  • le taux de conversion : nombre de ventes réalisées VS nombre de prospects,

  • taux de rétention et taux de fidélisation : vos clients sont-ils suffisamment conquis pour vous refaire confiance ?,

  • taux de conquête : pour évaluer l’effort commercial lié à la prospection par rapport au nombre de rendez-vous clients,

  • le taux d’efficacité de la prospection : le nombre de rendez-vous pris en comparaison du nombre de premiers appels,

  • le nombre de ventes conclues,

  • le nombre de ventes perdues,

  • le nombre de clients perdus,

  • le chiffre d’affaires généré global, par vendeur, etc.,

  • le montant du panier moyen,

  • le niveau de qualification des leads, etc.

💡 Et des KPIs, il en existe encore beaucoup ! Découvrez-les grâce à notre article 40 indicateurs de performance commerciale pour piloter son activité.

Savoir lire et interpréter les KPIs commerciaux

Au-delà de définir cette liste de fondamentaux, toutes les équipes de vente au sein de l'entreprise doivent adapter leur reporting commercial à leur contexte de mise en œuvre : cycle de vente, différents types de client, canaux utilisés, maturité du CRM… Certains KPI seront plus pertinents que d’autres.

Ce qui a de l'importance ? Pouvoir évaluer l’efficacité des actions menées, les succès, mesurer les écarts, les coûts, suivre l’évolution des résultats et orienter les efforts. C’est aussi un moyen d’analyser les données, de renforcer la prise de décision, et d’aligner les commerciaux sur des objectifs communs. 🤝

Bref, un bon KPI n’est pas décoratif : il sauve du temps, évite les erreurs et améliore la performance globale. Mais attention : un excès d’indicateurs peut aussi brouiller la lecture. Trop de chiffres, pas assez de lisibilité, et c’est toute l’activité commerciale qui perd en clarté.

Recommandation : c’est pourquoi il faut adapter les KPI aux réalités de l’équipe de vente, à la stratégie de vente, au marché ciblé et aux objectifs commerciaux définis. Certains privilégieront la qualité des leads, d’autres la rapidité du cycle de vente, ou encore le taux de concrétisation après prise de contact. Il n’existe pas de recette universelle. L’essentiel ? Créer un système de suivi utile, aligné sur la réalité terrain, capable d’éclairer les actions avec justesse. Des KPI bien choisis, c’est un reporting qui devient un vrai levier d’amélioration continue.

Comment faire un bon reporting commercial ? 5 bonnes pratiques à connaître

#1 — Identifiez la meilleure récurrence

À quel moment convient-il d’établir le reporting commercial ? Toutes les semaines ? Tous les mois ? Tous les trimestres ?

En réalité, tout dépend de votre activité.

Par exemple, il est courant que le cycle de vente s’étende dans le secteur B2B, du fait de la valeur plus élevée des transactions, de la personnalisation de la relation client et des nombreux interlocuteurs avec lesquels négocier. Dans ce cas, un suivi mensuel peut être suffisant.

En cas de volume de vente plus important, comme c’est généralement le cas en B2C, optez pour un reporting hebdomadaire, voire quotidien.

#2 — Soignez le visuel du reporting

Pour prendre rapidement les meilleures décisions, le reporting commercial doit être simple et lisible. D’autant plus si vous êtes amené à partager ces informations avec d’autres équipes (direction, marketing, etc.).

Soignez donc le visuel du document.

💡 Quelques conseils :

  • Choisissez intelligemment les graphiques du reporting commercial, en fonction de la nature de la donnée à retranscrire et du message à faire passer. Par exemple :
    • une courbe pour analyser une évolution dans le temps,
    • un camembert (ou diagramme circulaire) afin de signifier une répartition,
    • un histogramme pour comparer des données, etc.

  • Hiérarchisez vos informations. Il est commun de faire figurer les plus primordiales en haut, puis d’entrer par la suite dans un niveau de détail important. Rassemblez également vos graphiques par thématiques.

  • Fignolez votre design. Par exemple, limitez-vous à un nombre de couleurs réduit.

#3 — Communiquez sur sa valeur

Comme évoqué précédemment, le reporting peut être mal perçu par les équipes commerciales, qui voient en lui un outil de « flicage ».

Par conséquent, les directeurs commerciaux sont tenus de démontrer sa valeur et ses bénéfices, certes pour l’entreprise, mais également pour le commercial lui-même.

Pour rappel, cet outil le soutient dans l’amélioration de son travail !

#4 — Restez agile

La manière de réaliser votre reporting commercial ne doit pas rester figée dans le temps.

Afin d’accompagner au mieux l’évolution de votre organisation, mais aussi celle du marché, n’hésitez pas à questionner régulièrement le choix de vos indicateurs, la nature des informations à transmettre.

Quels sont les outils de reporting commercial ?

Le reporting commercial sur Excel

Aujourd’hui, beaucoup d’équipes commerciales procèdent via Excel (ou son équivalent en ligne Google Sheet) pour établir leurs reportings. Il faut dire qu’il est connu de tous et présent dans la majorité des entreprises. Bien pratique !

Néanmoins, le célèbre tableur présente des limites :

  • une esthétique et une ergonomie limitées pour vraiment valoriser les données,
  • un certain niveau de maîtrise requis afin d’exploiter au mieux ses capacités (formules, tableaux croisés dynamiques, etc.),
  • le manque de souplesse de l’outil,
  • la difficile collaboration sur le document,
  • l’impossibilité d’ajouter des pièces jointes,
  • la saisie manuelle des informations qui accroît le risque d’erreur.

Par conséquent, de nombreux services commerciaux se tournent désormais vers des logiciels plus adaptés.

Les logiciels plus avancés

Il existe des solutions de reportings commerciaux plus puissantes.

On les qualifie de :

  • logiciels de BI (logiciels de business intelligence),
  • logiciels d’intelligence décisionnelle,
  • logiciels de data visualisation.

Le plus de ces outils ?

  • Leur capacité à recueillir et à traiter une quantité de données importante.
  • La restitution de cette data de manière visuelle, au moyen de statistiques, de diagrammes ou encore de courbes, à l’esthétique soignée.
  • Un hébergement souvent disponible en mode SaaS qui simplifie la collaboration. Les informations deviennent alors accessibles à tous, même en situation de mobilité, et ce, depuis divers supports (ordinateur, smartphone, tablette). Les reportings sont facilement distribuables à qui en a besoin (direction par exemple).

Enfin, parmi ces logiciels, certains vont encore plus loin. Grâce aux progrès de l’intelligence artificielle, ils réalisent des analyses prédictives afin d’accompagner les équipes dans l’identification de leurs opportunités et dans la construction de leur stratégie future.

💡 Exemple de solution :

MyReport est un outil de business intelligence à destination des PME et des ETI. Il collecte automatiquement vos informations depuis différentes sources de données, comme votre CRM. Créez ensuite, en quelques clics, des reportings personnalisés. Puis générez des tableaux de bord à partir des résultats, qui prendront la forme souhaitée : camemberts, histogrammes, pyramides… Autre atout : un solide accompagnement de l’équipe MyReport (consultant dédié) pour vous aider à déployer la solution et à l’exploiter au mieux.

👆 Notez également que le CRM, l’outil préféré de nos chers commerciaux, permet également la génération de reportings, tableaux de bord et autres rapports d’activité.

Critères de choix

Un bon outil de reporting, ce n’est pas juste une jolie interface et des fonctionnalités. Cet outil consiste en un levier stratégique. Pour bien le choisir, il faut commencer par vos besoins concrets : quels éléments cherchez-vous à évaluer ?

  • La performance des commerciaux ?
  • Le suivi des objectifs ?
  • L’activité client ?

Optez pour une solution compatible avec votre CRM et capable d’analyser les données liées sans friction. L’idéal ? Une approche qui s’intègre dans votre stratégie commerciale, qui facilite la prise de décision, et qui offre différents tableaux de bord clairs, lisibles, personnalisables. Sans oublier une visualisation des KPI fluide, surtout pour les équipes terrain.

Vérifiez aussi la simplicité d’utilisation. Si personne ne s’en sert, même l’outil le plus puissant devient inutile. Au final, un bon choix repose sur trois piliers : l’adéquation fonctionnelle, la lisibilité et la capacité à transformer l’information brute en résultat exploitable.

Exemples de reporting commercial

Modèle gratuit à télécharger

Vous recherchez un exemple de reporting commercial gratuit ?

Téléchargez notre modèle de reporting commercial sous format Excel !

Modèle de reporting commercial

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Il ne vous reste plus qu'à vous en inspirer pour l'adapter à vos propres besoins.

Étude de cas

Dans le secteur de la communication extérieure, chaque donnée compte. L’entreprise française JCDecaux, présente dans plus de 80 pays, en a fait l’expérience : trop de fichiers Excel, trop peu de visibilité.

❌ Résultat ? Des tableaux de bord commerciaux illisibles, des objectifs mal suivis, et une stratégie commerciale qui manquait d’impact.

Elle a donc intégré un outil de data visualisation pour mettre en place un reporting commercial efficace. Plus qu’un outil, c’est devenu un pilier pour les mesures : centralisation des informations, analyse avancée, mise à jour automatique. Les équipes ont gagné en prise de décision, en vue claire sur les écarts, et en fluidité côté communication.

Parmi les nouveaux KPI de vente fixés : le nombre de nouveaux clients, le taux de fidélisation, la rentabilité par produit. L’outil permet aussi de comparer les résultats par secteur, de détecter les tendances et de maximiser l’efficacité des campagnes marketing.

✅ Ce virage a changé la donne : un gain de temps, une meilleure collaboration et une dynamique commerciale relancée. Preuve qu’avec le bon outil et les bons indicateurs, l’intelligence décisionnelle devient enfin concrète.

Les erreurs à éviter

Même les meilleurs outils de reporting ne suffisent pas si leur utilisation repose sur de mauvaises pratiques. Voici trois erreurs fréquentes qui ruinent la performance… et qui se corrigent facilement.

Multiplication des indicateurs

Créer un reporting commercial efficace, c’est d’abord faire des choix. Trop d’entreprises saturent leurs tableaux avec des indicateurs mal hiérarchisés. Résultat : des données redondantes, des scores flous et une vue trop fragmentée pour offrir une vraie visibilité sur le marché et être utile.

Il vaut mieux se concentrer sur des indicateurs clés, alignés sur les objectifs de l’équipe ou du directeur commercial. La force de vente n’a pas besoin d’un inventaire, mais d’un rapport commercial qui l’aide à réaliser ses cibles.

☝️ Fixez une base cohérente, adaptée à chaque compte, avec des dashboards visuellement clairs, compréhensibles, et faciles à utiliser. Une interface trop riche en fonctionnalités n’apporte rien si elle complique l’interprétation. Chaque tableau doit permettre une lecture directe et un suivi rapide des résultats.

Données obsolètes

Un bon reporting repose sur une mise à jour constante. Utiliser des fichiers stockés sur Google Sheet ou d’autres tableurs sans synchronisation automatique, c’est courir le risque d’analyser des chiffres déjà périmés. Et c’est une erreur stratégique.

Il est essentiel de garantir une source unique, fiable et régulièrement actualisée. L’intégration d’un outil dédié permet d’assurer la qualité, de gérer les fréquences de collecte, et d’automatiser la remontée des informations.

☝️ Chaque donnée doit être associée à une phase précise, et permettre une lecture par produit, volume, ou par pipeline. Une bonne gestion des flux évite les écarts et renforce la fiabilité du reporting. La mise en place d’un processus clair est une opportunité d’améliorer la satisfaction, la collaboration, et le support aux équipes.

Manque d’analyse

Trop de rapports se contentent d’aligner les chiffres sans interprétation. Or, l’analyse avancée est essentielle pour déterminer les tendances, évaluer la rentabilité des actions engagées pour atteindre les objectifs, identifier les axes d’amélioration, et prendre des décisions éclairées.

Un bon reporting doit aider à comprendre, à optimiser la stratégie, à générer du gain, voire à prévoir la croissance.

☝️ Grâce à des outils d’intelligence décisionnelle ou de business intelligence, chaque indicateur devient un point d’appui : on peut suivre les écarts, adapter le discours, ajuster les cibles. Cela permet de déterminer une vision claire, partagée par la direction comme par les équipes terrain. L’enjeu ? Ne plus subir la donnée, mais l’utiliser pleinement, comme un levier d’efficacité et de performance.

Que retenir ?

Le reporting commercial constitue un outil de prise de décision précieux, pour le management comme pour les opérationnels. Si son aspect challengeant peut effrayer, il sert surtout à travailler plus efficacement ainsi qu’à améliorer la collaboration et la communication. Et parfois, il sort sa boule de cristal pour lire l’avenir et vous aider à déceler les futurs comportements de votre marché. Grâce à lui, prenez une longueur d’avance… dès maintenant !

Mais pour ce faire, le reporting commercial doit aller droit au but : déterminez son objectif, choisissez les bons indicateurs et restituez les résultats de façon simple, lisible et visuelle.

Heureusement, il existe des outils pour vous soutenir dans cette tâche, en particulier les logiciels de business intelligence. Avec eux, gain de temps garanti, justesse des résultats… et la promesse de belles performances commerciales !

Jennifer Montérémal

Jennifer Montérémal, Editorial Manager, Appvizer

Actuellement Editorial Manager, Jennifer Montérémal a rejoint la team Appvizer en 2019. Depuis, elle met au service de l’entreprise son expertise en rédaction web, en copywriting ainsi qu’en optimisation SEO, avec en ligne de mire la satisfaction de ses lecteurs 😀 !

Médiéviste de formation, Jennifer a quelque peu délaissé les châteaux forts et autres manuscrits pour se découvrir une passion pour le marketing de contenu. Elle a retiré de ses études les compétences attendues d’une bonne copywriter : compréhension et analyse du sujet, restitution de l’information, avec une vraie maîtrise de la plume (sans systématiquement recourir à une certaine IA 🤫).

Une anecdote sur Jennifer ? Elle s’est distinguée chez Appvizer par ses aptitudes en karaoké et sa connaissance sans limites des nanars musicaux 🎤.