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Basée sur la productivité salariale rythmée grâce à des processus de travail que les collaborateurs n’ont plus qu’à exécuter, elle laisse peu de place à l’expérimentation.
L’intégration de l’empowerment dans l’entreprise implique de passer à un modèle « bottom-up », du bas vers le haut. Pourquoi ?
Parce qu’aujourd’hui, une entreprise doit d’être réactive, adaptive et innovante pour rester compétitive, ce qui est presque impossible si ce mouvement permanent et ces initiatives ne sont pas issus des salariés. La puissance des informations terrain, combinée à une possibilité de prise de décision rapide en accord avec une vision d’entreprise claire et connue, est efficace pour faire bouger les choses.
Par ailleurs, plus qu’un simple type de management, l’empowerment doit faire partie intégrante de la culture d’entreprise pour pouvoir fonctionner pleinement.
Il doit faire partie d’une révolution globale de l’entreprise où chacun est imprégné d’une culture d’entreprise forte, où l’empowerment devient presque un art de vivre, une philosophie.